La névrose d’angoisse est un concept identifié et décrit par Sigmund Freud en 1895. Ne soyez pas inquiet(e), la névrose d’angoisse n’est pas une maladie mentale au sens où vous n’êtes pas fou ou folle.

Sigmund Freud est à l’origine de la définition de la névrose d’angoisse en 1895.

Aujourd’hui, on associe la névrose d’angoisse aux troubles anxieux, un terme que la psychiatrie préfère utiliser. Bien sûr, la science et nos connaissances du psychisme ont évolué depuis plus d’un siècle. Les définitions ont donc aussi évolué.

Malgré tout, l’étude des spécificités de la névrose d’angoisse est forte en enseignement, notamment pour ses différences avec les troubles anxieux, et ce qui la rend d’autant plus pénible c’est que les raisons de cette angoisse ne sont pas toujours clairement identifiées.

La névrose d’angoisse se caractérise par un sentiment d’insécurité patent. Une angoisse constante qui s’installe dans le temps. Elle est particulièrement pénible au point d’être invalidante.

La névrose d’angoisse peut donc durer des mois. D’après certaines études, environ 4 % de la population est victime de névrose d’angoisse.

Définition de la névrose d’angoisse

La névrose d’angoisse est un trouble dit mental qui ne provoque pas de désorganisation de la personnalité bien qu’elle entraîne une importante souffrance morale.

C’est un état névrotique permanent, à propos duquel les traits de personnalité, les conduites, et les symptômes, sont les preuves d’une angoisse omniprésente et permanente.

L’angoisse est un état psychologique proche de l’anxiété laquelle peut se manifester par une boule au ventre. Toute angoisse est donc la manifestation profonde d’une inquiétude. Cette même angoisse survient de manière ponctuelle, puis disparaît, comme elle est venue, plus ou moins rapidement, tout comme la peur du vide.

La névrose d’angoisse est caractérisée par une peur intense et incontrôlée. Elle porte le plus souvent sur la crainte de mourir ou, plus généralement, la peur perdre le contrôle. La personne victime de névrose d’angoisse a l’impression de devenir folle, sans possibilité de se raisonner, du moins, tant que la crise dure.

On parle de névrose d’angoisse dans les cas où l’angoisse est permanente au point de venir de devenir invalidante, comme une anxiété, ou qu’elle apparaît lors de situations non dangereuses. Elle peut durer plusieurs mois voire plusieurs années, et elle provoque de fortes crises appelées attaque panique.

Il y a plusieurs niveaux d’angoisse. Certaines personnes se disent qu’elles ont un tempérament anxieux permanent, avec une facilité à s’inquiéter. Cependant, cette angoisse peut être associée à une maladie sous-jacente, par exemple, la manifestation d’une hypertension.

Les causes et les origines de la névrose d’angoisse

Comme son nom l’indique, la névrose d’angoisse est un état névrotique. Il s’agit donc d’un état de souffrance psychique dont le patient a conscience et dont il se plaint. Notez qu’avoir conscience de sa souffrance ne veut pas forcément dire avoir conscience de son trouble psychique.

Les personnes angoissées se plaignent souvent des situations qu’elles jugent anxiogènes, mais sans toujours considérer que leurs réactions ne sont pas normales.

Chez Freud, la névrose est toujours le résultat d’un refoulé psychique, souvent infantile ce qui n’est pas sans évoquer l’angoisse de séparation adulte.

Dans la grande tradition psychanalytique freudienne, la névrose d’angoisse est donc le résultat d’un refoulement mal réalisé et d’un traumatisme dans l’enfance.

Freud considère également la valeur symbolique du symptôme, c’est-à-dire que, par exemple, l’angoisse des prises de parole en public implique un événement traumatique en lien avec le fait de parler en public.

La névrose d’angoisse se caractérise également par son absence de contact avec la réalité concrète.

Le besoin d'être rassuré(e) dans le cas d'une angoisse permanente

L’angoisse se manifeste même en dehors des situations dangereuses ou inquiétantes. La simple évocation du sujet de l’angoisse suffit à provoquer les symptômes. On définit aussi la névrose d’angoisse en fonction de son caractère invalidant.

Si elle empêche le patient de mener une vie normale, comme dans le cas de phobie d impulsion, on considère l’angoisse comme névrotique. C’est une différence majeure avec les troubles anxieux.

Ces troubles n’ont pas besoin d’être handicapants, ils peuvent être simplement gênants.

Les symptômes de la névrose d’angoisse

Les symptômes de la névrose d’angoisse sont très proches des symptômes d’un trouble anxieux. Ainsi, on retrouve les réactions habituelles face à l’objet de l’angoisse:

  • Difficultés respiratoires,
  • Nausées,
  • Sueurs,
  • Vertiges,
  • Trouble du sommeil.

Les patients qui souffrent de névrose d’angoisse ont aussi tendance à développer des traits de personnalité typiques des personnes anxieuses :

  • Forte timidité : Difficulté à exprimer ses émotions au bon moment,
  • Hyperémotivité et hypersensibilité : les signaux extérieurs négatifs sont captés avec une grande intensité,
  • Indécision,
  • Besoin permanent d’être rassuré(e),
  • Tension permanente et forte irritabilité,
  • Perfectionnisme.

Les symptômes de la névrose d’angoisse sont nombreux et variés. Ces symptômes de névrose d’angoisse sont regroupés en deux catégories : psychique, et physique.

Ci-dessous est dressée une liste relativement complète des symptômes psychiques liés à une névrose d’angoisse.

Les symptômes psychiques

  • Pénible sentiment d’attente,
  • Sentiment d’insécurité et de danger imminent avec des sursauts (peurs),
  • Impression d’un danger imminent,
  • Incapacité à rester calme,
  • État d’excitabilité généralisé avec des réactions de sursaut excessives, ou incontrôlées,
  • Doutes relatifs au présent,
  • Anticipation négative quant à l’avenir,
  • Exagération et majoration du moindre souci,
  • Irritabilité et agitation,
  • Difficultés de concentration, et de mémorisation,
  • Angoisse permanente sans raison apparente.

Les symptômes physiques

  • Palpitations,
  • Accélération du rythme cardiaque,
  • Douleurs thoraciques et palpitations (semblable à une crise cardiaque),
  • Troubles sexuels,
  • Lombalgies,
  • Accès de toux nerveuse,
  • Sensation d’étouffement et d’oppression,
  • Nausées,
  • Douleurs abdominales,
  • Diarrhée,
  • Fréquentes envies d’uriner comme lors d’une infection urinaire,
  • Sécheresse de la bouche,
  • Bouffées de chaleur,
  • Crises de hoquet,
  • Transpiration,
  • Bourdonnements dans les oreilles,
  • Sensation d’étranglement,
  • Crises de vertiges avec la sensation que les jambes se dérobent, ou que vous marchez de façon instable,
  • Fourmillements dans les pieds et dans les mains,
  • Tensions musculaires,
  • Tremblements,
  • Troubles du sommeil (difficultés d’endormissement, réveils nocturnes, cauchemars),
  • Sensation de malaise (cf. hypoglycémie),
  • Dilatation des pupilles,
  • Peur des espaces clos,
  • Peur des lieux publics (agoraphobie).

Les conséquences de la névrose d’angoisse

La tradition psychanalytique freudienne considère que la névrose d’angoisse est provoquée par un événement traumatique refoulé durant l’enfance.

Le refoulement est un processus naturel qui nous permet de fonctionner correctement, les symptômes névrotiques sont la preuve d’un refoulement mal effectué.

Dans le cas de l’angoisse, la peur et la tension constante d’une situation ou d’un objet sont toujours liées à l’événement refoulé. Des méthodes thérapeutiques plus récentes, comme l’approche systémique de Palo Alto, utilisent des données plus précises.

La névrose d’angoisse serait donc caractérisée par une attention excessive aux signaux de danger poussant à ignorer les signaux de sécurité. La névrose d’angoisse pourrait donc avoir des causes génétiques.

Enfin, la cause la plus souvent évoquée reste la cause environnementale.

Les enfants exposés à des situations anxiogènes ou qui ont eu des parents dysfonctionnels, voire violents, souffrent souvent de névrose d’angoisse.

Ce genre de névrose peut se manifester facilement quand les parents ne prennent pas le temps et la peine de discuter et d’objectiver les peurs de l’enfant avec lui.

Seul un diagnostic professionnel peut permettre d’y voir médicalement clair. Si vous avez des doutes quant à votre état de santé médical, et à la relation avec une névrose d’angoisse, n’hésitez pas à consulter un(e) professionnel(le) de la santé mentale même si cela vous fait peur.

En termes psychiques, et selon l’approche comportementale, la névrose d’angoisse est causée par le mauvais traitement d’une information. En effet, le cerveau privilégie les signaux de danger aux signaux de sécurité. Il faut donc débloquer cette perception invalidante.

La névrose d’angoisse est également causée par un sentiment d’insécurité qui s’est construit au cours de l’enfance lequel perdure à l’état adulte ce qui laisse augurer des symptômes d’angoisse chronique.

Les ruptures relationnelles précoces sont des facteurs qui contribuent à sa mise en place. Les psychanalystes pensent que la névrose d’angoisse est liée à la crainte de manquer ou de perdre, quelque chose ou, quelqu’un, d’important pour soi.

En règle générale, il est convenu que les femmes, et les jeunes adultes, sont les plus exposés à la névrose d’angoisse obsessionnelle.

On retrouve cette pathologie chez les personnalités anxieuses qui souffrent du manque de confiance en soi ou d’un état de tension psychique permanent, voire d’une tendance maladive à rechercher l’idéal et l’excellence en tout et à tout prix.

À l’origine de la névrose d’angoisse, il y a toujours un traumatisme qui affecte la psychologie de la personne qui en souffre. Généralement, la névrose d’angoisse naît de l’opposition entre votre « ça » et votre « moi » (cf. « le « çà » en psychanalyse« ).

Ceci marque vos prédispositions naturelles, et votre bon sens (les interdits, les valeurs personnelles et sociétales…), le surmoi. Cependant, les causes de la névrose d’angoisse sont multiples. Celles-ci dépendent des particularités biologiques, morales et sociales qui différencient une personne d’une autre.

Il en existe plusieurs qui justifient l’apparition de cette pathologie laquelle comprend des troubles anxieux et des attaques de panique.

Il peut s’agir notamment des expériences de vie telles qu’un manque d’affection en bas-âge, des violences familiales, une insécurité familiale, le décès d’un être cher, une séparation conjugale, la perte d’un emploi, etc.

Il est aussi admis que le mauvais traitement (interprétation) des signaux de danger par le cerveau se manifeste par des symptômes d’un trouble d’angoisse.

La névrose d’angoisse est plus fréquente chez les femmes, comme chez les jeunes adultes. Les personnalités anxieuses présentant les problèmes suivants sont également des personnes à risques :

  • Forte timidité,
  • Perfectionnisme,
  • Besoin d’être rassuré(e),
  • Indécision,
  • Émotivité et/ou hypersensibilité.

La névrose d’angoisse est également causée par un événement traumatisant ou une accumulation de stress et de fatigue. Par ailleurs, la consommation de substances comme la caféine, la nicotine, les drogues, ou l’alcool, favorisent la névrose d’angoisse.

Pour diagnostiquer cette maladie, les examens suivants s’avèrent nécessaires :

  • Examen clinique (prise de la tension artérielle, palpation abdominale, radio du thorax, etc.).
  • Prise de sang (le bilan sanguin permet de vérifier l’hypothèse des maladies graves cachées).
  • Historique des crises.
  • Électrocardiogramme.

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Le diagnostic de la névrose d’angoisse

Si un diagnostic identifie et confirme une névrose d’angoisse, il est important de vous mettre en contact avec un coach comportemental ou d’utiliser un programme thérapeutique en ligne (lire en bas de l’article).

En effet, la thérapie brève orientée solutions, ou thérapie comportementale, est réputée comme la plus adaptée pour traiter la névrose d’angoisse.

Si l’on ne vous l’a pas diagnostiqué, vous trouverez ci-après quelques conseils qui vous permettent de prévenir, ou de réduire à tout le moins, le risque d’apparition d’une névrose d’angoisse.

Du coup, la question se pose de savoir comment faire, quel comportement adopter, si une névrose d’angoisse est diagnostiquée.

Voici ma réponse :

  • Adoptez une hygiène de vie équilibrée en réduisant vos contraintes, et donc le stress qui l’accompagne.
  • Prenez l’habitude de dormir 8H par jour ou, à tout le moins, autant qu’il vous est nécessaire.
  • Réduisez votre consommation d’excitants comme la caféine, voire, cessez d’en consommer.

D’autres solutions existent pour retrouver de l’énergie : des séances de respiration abdominale par exemple ou vous faire plaisir et consommer des fruits plutôt que du café par exemple.

  • Consultez immédiatement un professionnel de santé en cas d’évènements traumatisants. Vous réduisez ainsi le risque de sombrer dans une névrose d’angoisse.

La névrose d’angoisse obsessionnelle

Dans son évolution, et sa forme aigüe et chronique, la névrose d’angoisse peut conduire à des décompensations dépressives par épuisement. Elle peut également conduire à des névroses plus structurées comme une névrose phobique ou obsessionnelle.

Vous arrive t’il de vous poser la question de savoir si vous souffrez de névrose d’angoisse obsessionnelle ?

Effectivement, depuis plusieurs mois, voire plusieurs années, vous éprouvez un sentiment d’insécurité permanent. Le plus souvent, vous ressentez comme une menace que vous avez toutes les peines du monde à identifier ce qui explique la difficulté à stopper une crise d’angoisse rapidement.

Au moindre souci, vous exagérez et dramatisez tout. Vous vous posez mille et une questions sur le lendemain. À la moindre manifestation d’angoisse, votre cœur sursaute et cède à la panique. Pourtant, aucun danger apparent ne vous guette ni ne vous épie.

Il est notoire que l’angoisse peut s’avérer utile pour vous préparer à faire face efficacement à tout danger.

Lorsque cette angoisse est répétée, intense et irréfléchie, vous passez au stade de la névrose d’angoisse obsessionnelle. C’est par exemple le cas de personnes qui ont peur d’être homosexuelles alors que cette angoisse n’est qu’un symptôme qui cache autre chose, le vrai problème.

Cela devient particulièrement nocif bien que chaque individu puisse se retrouver confronté à une névrose d’angoisse obsessionnelle plus ou moins inquiétante.

La névrose d’angoisse, symptôme de stress et d’anxiété

La dimension physique de ce problème révèle aussi de troubles anxieux qui se caractérisent par une inquiétude répétée, intense et illogique, même en l’absence de danger.

La cause physique est issue de problème de thyroïde, d’hypoglycémie, d’hyperglycémie, ou encore d’un trouble cardiaque. Ce type de pathologie peut également avoir des origines génétiques.

En effet, il est prouvé que des gènes hérités des parents prédisposent à des atteintes psychologiques liées à la névrose d’angoisse. Dès lors, tôt ou tard, et en pareille situation, des signes évidents de la phobie aigüe ou chronique apparaissent.

On peut aussi déceler des anomalies relatives au développement cérébral. Il en va ainsi d’abus sexuel, de détresse, d’abandon des parents, de troubles mentaux. Je n’occulte pas l’environnement social, et familial, lesquels jouent un rôle morbide dans l’expansion des symptômes de l’anxiété chronique.

Le stress et la fatigue favorisent la mise en place d’une névrose d’angoisse. Surtout quand ils se manifestent régulièrement et alors que vous ne suivez aucun traitement adéquat pour atténuer, voire détruire, leur impact.

Par ailleurs, si vous absorbez des excitants dans le genre de la caféine, la nicotine, l’alcool, et autres, il se peut que vous fassiez le lit de l’expression d’une peur endémique.

Si vous vous retrouvez dans ce descriptif des causes, ne vous affolez pas. Seul un diagnostic personnalisé peut confirmer que vous souffrez de névrose d’angoisse. Au cas où ce diagnostic est positif, vous trouverez ci-après quelques propositions de traitements.

Les différents traitements de la névrose d’angoisse

Dès que vous constatez les premiers symptômes associés à une névrose d’angoisse, je vous invite à prendre contact avec un professionnel de la santé mentale. Ainsi, vous saurez si vous souffrez vraiment de névrose d’angoisse obsessionnelle, ou d’une autre pathologie.

Si les signes diagnostiqués sont sévères et révèlent un état de névrose, une hospitalisation est prescrite. Toutefois, ce cas de figure est assez rare.

Au cas où le diagnostic de l’état de névrose d’angoisse obsessionnelle n’est pas alarmant, il est conseillé que le patient soit orienté vers des spécialistes, thérapeutes comportementaux, psychologue, ou psychiatre.

Vous pouvez aussi être orienté(e) vers les thérapies psychanalytiques qui ont pour but de vous rendre conscient des conflits et douleurs enfouies qui échappent à votre compréhension.

Cela vous permet véritablement de vous libérer de vos craintes comme de certains blocages psychiques. Mais, attention, une telle démarche comporte quelques inconvénients (durée, coût, etc.).

Comment se sortir d’une névrose d’angoisse ?

Le traitement de la névrose d’angoisse correspond au traitement classique de presque toutes les névroses existantes. Ainsi, on envisage l’approche médicamenteuse pour soulager la souffrance des patients les plus fatigués par l’angoisse.

Sur le plus long terme, on utilise surtout les médicaments pour aider les patients qui souffrent de toc ou de forte dépression. Par ailleurs, la prise de médicaments pour lutter contre une névrose ne doit jamais se passer du suivi régulier d’un professionnel dans le cadre d’une thérapie.

La nature de cette thérapie (comportementale et systémique ou analytique) dépend de la volonté du patient. Cependant, la thérapie doit être régulière et assidue pour offrir des résultats rapides et durables.

Sans la thérapie, les médicaments sont inutiles. Ils ne soignent pas la névrose obsessionnelle et se contentent seulement de l’apaiser temporairement.

Traitement de la névrose d’angoisse

Les traitements les plus expéditifs de la névrose d’angoisse sont médicamenteux. Les anxiolytiques, par exemple, permettent de supprimer complètement et immédiatement les symptômes d’anxiété.

En revanche, ils ont de nombreux effets secondaires, empêchent souvent de travailler, interdisent de conduire et provoquent une accoutumance. On les utilise surtout pour calmer les personnes très angoissées et lui offrir un peu de repos avant d’entamer un travail sur le long terme.

C’est par exemple le cas de personnes qui consultent les urgences hospitalières parce qu’elles font des crises d’angoisses. La prise de calmants ne peut alors se comprendre que comme une tentative de calmer des symptômes et non comme une solution au problème.

Les antidépresseurs peuvent s’avérer efficaces pour traiter certaines névroses d’angoisse et la dépression qui l’accompagne parfois. Néanmoins, des solutions sans médicaments existent aussi.

Coment se débarrasser d'une névrose d'angoisse?

La névrose d’angoisse se soigne très bien grâce à la psychothérapie ou à la thérapie comportementale issue de l’approche systémique de Palo Alto. La psychothérapie est recommandée pour les patients qui souffrent d’angoisses et d’un mal-être généralisé.

En l’absence d’origine claire de l’anxiété, la psychothérapie peut aider à exhumer des souvenirs et explorer son passé sur le long terme. La thérapie comportementale est plus simple et son effet beaucoup plus rapide.

Elle débarrasse plus de 9 patients sur dix de leur névrose d’angoisse en quelques semaines seulement.

Une solution simple et rapide à la névrose d’angoisse

Il convient de préciser que l’ensemble des symptômes, dont vous venez de prendre connaissance, sont ceux d’une maladie plus ou moins grave.

De nouveau, je vous invite à consulter votre médecin traitant pour bénéficier d’un diagnostic médical. En effet, il est quasi impossible d’établir soi même un diagnostic fiable en termes médicaux.

S’il s’avère que vous ne souffrez d’aucune pathologie médicale, c’est donc que vous êtes affecté(e) d’une névrose d’angoisse et cela nécessite un traitement adapté.

C’est la raison pour laquelle je vous suggère de bénéficier d’un programme thérapeutique en ligne. La méthode comportementale utilisée vous permet de :

  • Diagnostiquer vos symptômes (principe de contextualisation),
  • Comprendre le mécanisme de votre problème,
  • Bénéficier d’une stratégie comportementale adaptée à votre cas,
  • Faire diminuer vos symptômes de névrose d’angoisse de 40 % en une semaine,
  • Éliminer votre névrose d’angoisse en 2 mois maximum,
  • Consolider la solution mise en place,
  • Bénéficier d’un accompagnement personnalisé.

Je vous rappelle que ce programme thérapeutique est inter actif.

Cela signifie que vous avez tout le loisir de m’interroger pendant le déroulement de votre programme. Ainsi, vous travaillez à l’élimination de votre névrose d’angoisse exactement comme si vous venez me consulter au cabinet.

Le manque d’effets des médicaments pour traiter la névrose d’angoisse

Vous pouvez aussi bénéficier de médicaments qui permettent de rendre les symptômes de névrose d’angoisse plus supportables. Vous connaissez mon avis sur le sujet, mais, déontologiquement, je ne peux pas faire l’impasse dessus :

  • Antidépresseur
  • Anxiolytiques

En ce qui concerne les traitements anxiolytiques et/ou antidépresseurs, ils vous permettent de soulager les symptômes invalidants comme les crises de panique, la phobie sociale, ou la dépression.

Mais attention, ces traitements médicamenteux ne soignent pas la névrose d’angoisse. Au mieux, il la soulage. Par conséquent, vous continuez de souffrir de cette pathologie dès que vous arrêtez le traitement médicamenteux.

Traitement de la névrose d’angoisse

Comme je l’écrivais précédemment, les démarches thérapeutiques classiques comme la psychologie clinique, la psychanalyse ou la psychiatrie prennent des années, et le plus souvent, sont ingrates.

Si vous souhaitez un résultat rapide pour traiter la névrose d’angoisse, mieux vaut mieux faire appel à l’approche systémique de palo Alto.

Cette approche thérapeutique dite stratégique et brève orientée solutions est reconnue comme la plus efficace et la plus adaptée, pour traiter la névrose d’angoisse.

Pour vous assurer un traitement de la névrose d’angoisse qui corresponde à la réalité de votre besoin, je vous suggère d’utiliser le Programme Thérapeutique et Comportemental en Ligne ARtUS.

Ce programme personnalisé vous aide à mettre un terme définitif à votre névrose d’angoisse, et vous permet de retrouver confiance en vous en moins de 8 semaines.

Cependant, quel que soit votre choix, vous trouverez ci-après quelques conseils pour prévenir ou minimiser les manifestations de névrose d’angoisse obsessionnelle :

  • Hygiène de vie : Essayez de vous protéger de toute situation contraignante qui pourrait déclencher du stress.
  • Respect des limites : Ne poussez pas votre corps au-delà de ses limites. Dormez autant que vous en sentez le besoin.
  • Substances psychoactives : Essayez de ne pas consommer de substances excitantes comme l’alcool ou certains stupéfiants (nonobstant l’usage excessif ou dépendant, et le non respect de la Loi).
  • Comportement sain : Adoptez des solutions saines pour vous requinquer (activités sportives, consultations thérapeutiques, alimentation équilibrée, etc.).
  • Alternatives : Complétez votre travail thérapeutique (cf. programme en ligne) en ayant recours à la relaxation, au yoga, ou à la sophrologie. Je vous suggère aussi de recourir à un(e) ostéopathe.
  • Faire confiance : Partagez vos émotions avec une personne de votre entourage ou un professionnel de santé. Cela vous permet de prévenir l’anxiété chronique, et d’en réduire les conséquences psycho sociales.
  • Traiter la névrose d’angoisse avec un taux de réussite supérieur à 95%, en cliquant sur le lien ci-après :

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Article mis à jour le 25 octobre 2023 par Frédéric Arminot.

    22 replies to "Névrose d’angoisse : comment vaincre une angoisse névrotique facilement ?"

    • Bonjour Mireille,

      Je vais vous adresser un mail afin de vous proposer une solution adaptée à votre situation.

      Bien à vous.

    • Tosello

      Bonsoir

      J’aurais besoin d’aide je me reconnais dans tous ce que j’ai lu

    • Frédéric Arminot

      Bonsoir Véronique,

      Avant même que je n’ai eu le temps de vous répondre, vous avez fait le choix de bénéficier du Programme ARtUS et d’en devenir membre. Soyez la bienvenue, et merci de votre confiance.

    • Véronique

      Bonjour,
      Voilà, je pense que j’ai une névrose d’angoisse. Dommage je suis tombée sur des professionnels qui ne m’ont pas mis en garde de l’évolution de la maladie. J’essaie de me soigner depuis 3 ans et ça n’a fait qu’empirer. J’ai eu différentes hospitalisations avec la dernière qui m’a obligée à faire des ECT. Depuis mon niveau de stress et d’anxiété est très élevé. J’ai un très grave problème d’insomnie et impossible d’y mettre fin, car depuis que j’ai eu les ECT, les psychiatres en ont profité pour me supprimer tous les benzodiazépines de type séresta, noctamide, ils veulent me mettre sous Loxapac. Je n’étais pas contre à priori, mais impossible de faire quoi ce soit le lendemain, et en plus je n’ai pas dormi, j’étais dans une telle anxiété.!!! Je prend de la mansiarine 30, et de l’alprazolam 50 que j’ai retrouvé chez moi (le psy , n’est pas au courant). Je pense acheter du scutellaire, plante qui agit sur les mêmes récepteurs que les benzodiazépines paraît-il.
      Je suis en arrêt de travail, j’ai tellement de symptômes somatoformes pratiquement impossible à faire comprendre et à faire entendre par mon entourage et même par le personnel soignant. C’est une corvée de se lever tous les matins, tellement que de faire sa toilette, marcher, prendre son déjeuner, d’effectuer toutes les activités quotidiennes me demandent une telle concentration et énergie. Je n’arrive plus à conduire, je n’aurai jamais pu imaginer qu’on puisse se mettre dans un tel état. Je me dis que je ne vais pas pouvoir vivre des années comme cela, pas parce que j’ai envie de mourir mais comment vais-je aire pour vivre ? Je vous écris tout cela sans trop réfléchir, j’ai l’impression d’être en écriture automatique.
      Et le clou dans tout cela, je me sens abandonner car l’équipe soignante veut me laisser tomber en prétextant que je dois reprendre une vie normale, alors que je n’ai jamais été aussi mal. J’essaie de leur faire entendre que j’ai besoin d’être soutenue, coachée pour vivre cette vie au quotidien. Je n’ai jamais eu un tel besoin d’être entourée, guidée pour arrêter cette spirale du pire à venir.
      Je ne l’ai pas dit mais mon anxiété n’est pas récente, elle a pris racines dans l’enfance. J’en ai pris conscience que dernièrement, j’ai toujours eu un degré d’anxiété au dessus la moyenne. Je me suis toujours fait violence pour contrer toutes mes peurs. Et inconsciemment j’ai l’impression d’avoir pris des voies de garage. J’ai été informaticienne puis AVS par conviction. Passionnant cet emploi, mais pas assez occupée au quotidien sans doute et qui n’a fait que favoriser les ruminations. Même un mi temps-thérapeutique je n’ai pas pu l’honorer à cause de l’épuisement et les douleurs incessantes. Je m’arrête ici, et vous remercie d’avance pour l’attention que vous voudrez bien porter à ce message.
      Bien cordialement.

    • Frédéric Arminot

      Patricia,

      Je viens de prendre connaissance de votre mail, et vous fais réponse dans la journée.

    • Patricia Retail

      ha oui, j’ai enfin trouvé votre lien et votre réponse, et je vous en remercie. Je vous ai envoyé un mail. J’attends votre réponse.
      Bonne journée
      Patricia

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Patricia,

      Je comprends qu’il vous arrive de penser à mourir, si paradoxal que cela puisse être dans votre situation. Cependant, une fois décédée, vous n’aurez plus de problèmes mais ne les aurez pas résolu de votre vivant…

      Ce que vous ressentez entre les seins, ce sentiment d’oppression, est un symptôme d’angoisse. Il existe un moyen simple de réduire ce symptôme à néant. De fait, de ne plus vous sentir angoissée. Ni d’éprouver le besoin de vous réfugier dans le sommeil pour résoudre votre problème. En effet, tant que vous dormez pour échapper à votre problème, vous n’êtes pas actrice de votre vie.

      Je vais vous adresser un mail pour savoir et comprendre comment faire pour reprendre le contrôle de votre vie. Ainsi, grâce à la solution dont je vais vous parler, vous traiterez la dépression dont vous êtes victime, comme le symptôme des « jambes sans repos » (j’ai connu ce problème il y a des dizaines d’années). Partant, vous pourrez sans doute faire diminuer les douleurs liées à votre fibromyalgie.

    • Patricia

      Bonjour Fredéric, j’ai des crises d’angoisses, des peurs paniques, depuis plusieurs années maintenant, je prends beaucoup de médocs pour le « Symptôme des jambes sans repos » et la « Fibromyalgie ». forte dépression. Mais je ne sais pas pourquoi j’ai si peur, ça me fait très mal au point dans la poitrine, juste entre les 2 seins. J’ai alors si peur de mourir, c’est intolérable. Au point de penser alors à mourir. C’est paradoxal je sais, mais quand j’ai si peur de tout et de la mort, je ne souhaite et j’espère que de mourir. Pour que ça s’arrête seulement. Puis ça passe petit à petit et je somnole alors, ou je m’endors parfois. Pendant ce temps je ne n’ai plus d’angoisses, de paniques etc…

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Rosine,

      Je vais vous adresser un mail pour essayer de vous proposer une solution adaptée à votre situation.

      Je vous souhaite une agréable journée.

    • Rosine

      Bonjour,

      J’ai 24 ans, et je souffre de névrose d’angoisse depuis plus de 8 mois… je ne sais plus quoi faire… pouvez vous me conseiller?
      Bonne soirée

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Réjane,

      A propos de votre chute, avez-vous consulté un spécialiste orthopédique? Quand vous écrivez ressentir des angoisses et des crises de panique terribles, sont-elles associées à votre souffrance et, dans l’affirmative, ou dans la négative, quel est le sujet de ces angoisses, et qu’avez-vous fait jusqu’alors pour essayer de les éliminer?

      Enfin, que craignez-vous qu’il vous arrive de pire si vous ne trouvez pas de solution à votre problème (douleurs et angoisses)?

    • Réjane

      en décembre, j’ai fait une chute en me cognant très fortement la tête sur mon piano.
      Depuis, des douleurs très fortes surtout des névralgies, faciales sont apparues. Les antalgiques ne sont guère efficaces.
      J’ai fait des séances de kiné qui ont amélioré les choses mais pas totalement.J’avais surtout la nuit, des douleurs intolérables.J’ai arrête la kiné et depuis, les douleurs sont revenues, avec en plus des angoisses insupportables auxquelles les anxiolithiques ne sont pas très efficaces. Je vis un cauchemar avec l’impression de me détruire peu à peu.
      C’est une panique et une souffrance continues ou presque.
      Je recommence la kiné la semaine prochaine mais je n’y crois plus. Pouvez-vous m’aider?

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Dominique,

      Comme convenu, je vous ai adressé un mail. Belle journée à vous.

    • Dominique

      Bonjour
      Grand merci pour votre disponibilité et votre aide, votre proposition m’intéresse, j’attends donc votre contact par mail.
      Cordialement
      Dominique

    • Frédéric Arminot

      Dominique,

      Ce que vous m’écrivez tend à prouver que votre enfant n’est pas client des solutions que vous proposez. D’où le conflit. Vous ne pouvez donc rien faire que l’intéressée ne veuille pour elle/lui-même.

      Si vous le souhaitez, par mail, je peux vous adresser les coordonnées de consœurs/confrères (en fonction de là où habite votre enfant) pour que vous les lui communiquiez. Charge à l’intéressé(e) de les contacter. Ou pas.

    • Dominique

      Bonjour,
      Je vous remercie d’avoir prété attention à ma demande auquelle j’ajoute les précisions suivantes :
      En parlant de la pilule du bonheur, je voulais faire référence au Prozac prescrit par un spécialiste engendrant une perte de 11 kg en 2 mois et la nécessité de lui administrer 3 seringues de Potassium en urgence, 2éme traitement par médicament le 1er avait conduit à un épisode de forte dépression, actuellement ce n’est guère mieux car les nouveaux traitements essayés couplés à la TCA ont fini par provoquer des convulsions sans pour autant améliorer sa vie et ce malgré la TCC. La souffrance est constante, elle est verbalisée, mais lorsque je propose par exemple un traitement par hypnose pour le ou les traumas nous nous disputons. Ma conviction est qu’il n’y a en place qu’un traitement des conséquences de plusieurs maux et non celui de la ou des causes. De plus le nombre d’années de souffrance désespère la personne, et toute la famille est impactée chacun réagissant à sa manière qui n’est pas toujours appropriée.
      Cordialement

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Dominique,

      Sur la foi des éléments que vos portez à ma connaissance, il me semble effectivement judicieux que la personne dont vous parlez bénéficie d’un diagnostic comportemental. C’est l’un des outils extra ordinaire que propose la thérapie comportementale. A l’issue de ce diagnostic, il sera beaucoup simple d’envisager une stratégie d’intervention et, partant, une solution.

      Le problème qui se pose dans la situation que vous évoquez consiste à savoir si la personne – en l’occurrence votre enfant, jeune adulte – est « cliente » d’une intervention. C’est à dire, demande t’elle de l’aide? Exprime t’elle une souffrance? Exprime t’elle un désir de changement? En effet, il y a votre vision des choses et la sienne. Vous pouvez la considérer comme ayant besoin d’une aide thérapeutique ce qui peut ne pas être le ressenti de l’intéressé(e).

      Le seul moyen de savoir de quoi il retourne est d’exprimer à votre enfant votre inquiétude d’une part, et les émotions que vous ressentez quant à la/le savoir dans cette situation que vous percevez comme difficile ou douloureuse d’autre part. Ainsi, exprimer votre amour tout en précisant que vous ne pouvez pas vous substituer à l’intéressé(e) en termes de solution. Cela signifie exprimer votre limite en précisant à votre enfant que vous ne pouvez pas faire à sa place ce qu’elle ne veut pas pour elle même. Se pose alors la question du lâcher prise (accepter ce que l’on ne peut changer).

      Dans tous les cas, vous risquez de passer pour la personne pénible qui met en lumière un problème que votre enfant ne veut pas voir. Alors, plutôt que d’alimenter le conflit en faisant s’opposer 2 visions différentes, il vous restera à dire que vous avez lu ou vu des choses intéressantes à tel ou tel endroit (livre, web, etc.) tout en transmettant les données correspondantes à votre enfant qui les exploitera. Ou pas.

      Enfin, si vous estimez que votre enfant, du fait de ses problèmes, déséquilibre votre vie, en plus de se faire du mal à lui même, vous pourrez exprimer votre limite, c’est à dire vous affirmer pour, ainsi, ne pas vous rendre complice du problème de « l’autre ».

      Si, par exemple, votre enfant a des comportements d’addictions (alcool, stupéfiant, etc.), vous pourriez refuser de donner de l’argent, de laisser un libre accès à la maison ou à l’appartement parce-que votre fils ou votre fille est sous influence à un instant « T », tout en disant que vous êtes désolé de le ou la voir se faire du mal, que vous ne pouvez l’empêcher, mais que, pour autant, vous n’entendez pas vous rendre complice par un silence contrit. Partant, que votre enfant est le bienvenu mais – seulement – quand il n’est pas sous l’influence de substances modifiant le comportement.

      A ce propos, vous pouvez envisager de vous faire aider par un(e) professionnel pour vous préserver, vous affirmer et, ainsi, en modifiant votre comportement, aider votre enfant à s’inscrire dans une démarche de changement du fait de votre propre changement.

      J’espère avoir répondu à votre question. N’hésitez pas à me solliciter si vous avez besoin de précisions. Prenez soin de vous.

    • Dominique

      Bonjour,
      J’ai regardé votre vidéo de présentation du programme non pas par pure curiosité mais en quête de moyens, d’outils, pour aider un de mes enfants à présent adulte qui bien que suivie et médicamentée a son état de santé qui se dégrade.
      A la suite de Traumas, TCA, TOC, stress, morbidité, sont apparus, à la fois sa souffrance, le déni de la maladie, l’inconscience de son âge l’ont conduite à rechercher le remède miracle, la pillule du bonheur, et depuis malgré des scéances de T.CC rien ne va plus. On avait envisagé un séjour en clinique spécialisée mais au dernier moment ça a été un refus catégorique. J’ai alors songé à une angoisse de la séparation question qui n’ a jamais été abordée par les praticiens. Faut-il qu’un diagnostique soit poser pour suivre vos séances ? La personne par elle-même ne recherchera pas à traiter ce problème dont elle n’a peut-être même pas conscience. Comment informer la personne sans la braquer? Transmettre le lien de votre site ? Je vous remercie par avance de vos conseils. Cordialement

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Céline,

      Votre question en amène une autre. Que faites-vous, ou qu’avez-vous fait, pour éviter d’être de nouveau victime d’une dépression, et/ou pour traiter votre peur obsessionnelle?

    • Céline

      Je souffre de névrose d’angoisses depuis 10 ans, a la naissance de ma fille. J’ai fait une grosse dépression. Je suis sous traitement. Il y a des hauts et des bas. Mais en ce moment c’est très bas. J’ai peur de refaire une dépression. C’est obsessionnelle comme pensée. Du coup je ne vis plus. Que dois je faire? Je suis dépendante affective.

    • Frédéric Arminot

      Bonjour,

      Les anti dépresseurs ne vous sont pas d’une grande utilité pour traiter vos crises d’angoisses. Pour éliminer celles-ci, et retrouver votre autonomie, et rendre le cours de votre vie, comme vous en exprimez le désir, je vous suggère de regarder cette vidéo: « Comment Traiter Les Crises d’Angoisses Rapidement Et Facilement >>« .

      N’hésitez pas à me solliciter si vous avez des questions. Prenez bien soin de vous.

    • Tabard

      Bonjour
      Je suis traite par antidepresseurs depuis 12 mois et en arret maladie.je fait des crises d angoisses qui peuvent durer 30mn.j ai toujours peur et meme de sortir,j ai aussi peur du suicide alors que j aime la vie.il y a des jours ou je me sent mieux mais il sont tres rares,je suis suivit par un psychiatre.je vous ecrie car je veut m en sortir mais je ne vois pas le bout du tunnel.pouvez vous m aider.
      Cordialement

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