Le stress révèle toujours une source de questionnements inépuisables. Nous en parlons tous les jours de façon informelle, un peu comme si nous parlons de la pluie et du beau temps.

Effectivement, le stress est une situation connue de tous mais savez-vous que les symptômes que vous ressentez face à des situations angoissantes sont dus à la sécrétion de ce que l’on appelle des hormones du stress et que ces situations anxiogènes, plus ou moins répétées, favorisent l’anxiété ?

Dès lors, une question s’impose : comment réduire les hormones du stress ?

Je comprends que n’ayez pas de réponses à cette question, du moins pas encore, et pas si tôt, à plus forte raison si vous ne travaillez pas dans les domaines de la santé mentale.

Mais il est quand même important de savoir de quoi il s’agit quand vous parlez de stress ou quand vous dites : « Je suis stressé« .

En effet, les hormones du stress sont liées au mode de fonctionnement du cerveau de chacun(e) et, partant, à nos personnalités respectives.

Alors, je vais m’employer à répondre aux questions ci-après :

  • A quoi sont liées ces hormones du stress ?
  • Quels sont les mécanismes psychiques et chimiques qui participent à votre stress ?
  • Comment ces hormones du stress sont-elles sécrétées ?
  • Comment faire pour gérer son stress ?

Quelles sont les 5 hormones de stress ?

Il y a 5 principales hormones du stress sécrétées par l’organisme pour réagir aux situations d’angoisse ou d’anxiété.

Ce sont les suivantes :

  • ACTH,
  • Adrénaline,
  • Ocytocine,
  • Vasopressine,
  • Cortisol.

Hormone N°1 – L’ACTH, Adréno Cortico Trophic Hormone

L’ACTH est sécrétée par l’hypophyse antérieure, une glande située au milieu du cerveau.

Son rôle est d’activer la croissance et le développement de la glande corticosurrénale. Sa sécrétion fluctue en fonction des moments de la journée. Elle atteint son pic le matin et le soir.

Hormone N°2 – L’adrénaline

Vous en avez sûrement déjà entendu parler.

C’est la fameuse hormone qui accélère votre cœur, et vous fait courir – entre autre – quand vous êtes en face d’un danger. Aussi appelée épinéphrine, elle est sécrétée par les glandes surrénales.

Elle est libérée dans le sang dans les situations de peurs et de colères intenses.

La sécrétion se passe en 3 étapes principales :

  • Détection d’une situation stressante.
  • Envoi d’un signal à l’hypothalamus qui est le centre des émotions situé à la base du cerveau.
  • Envoi d’un message nerveux aux glandes surrénales puis libération de l’adrénaline.

Elle appartient au groupe des catécholamines. L’adrénaline a également un rôle de neurotransmetteur dans le système nerveux. Elle permet le passage rapide des informations entre les cellules nerveuses.

L’adrénaline est responsable de symptômes physiques tels que :

  • Tachycardie : c’est à dire accélération du rythme cardiaque avec augmentation des battements du cœur.
  • Hypertension artérielle.
  • Augmentation du taux de glucose dans le sang.
  • Indigestion.
  • Dilatation des pupilles (mydriase).
  • Mains moites.

Depuis les années 1900, l’adrénaline n’est plus seulement considérée comme une hormone de stress.

Elle fait également partie de l’équipement d’urgence du personnel médical puisqu’elle est utilisée pour réagir face aux AVC et aussi aux chocs anaphylactique ou encore aux œdèmes.

En obstétrique, elle diminue les contractions utérines ce qui évite les fausses couches.

Hormone N°3 – L’ocytocine

L’ocytocine est une hormone qui influe le comportement d’une personne en société et, plus encore, dans ses relation avec les autres.

Cette substance est sécrétée par l’hypothalamus. Elle est stockée dans l’hypophyse puis libérée uniquement en cas de besoin.

L’ocytocine joue un rôle central dans les relations d’attachement entre une mère et son enfant mais également entre les individus d’une façon générale. Elle induit également la baisse du taux de cortisol dans le sang.

Hormone N°4 – La vasopressine

La vasopressine est une hormone du stress encore appelée hormone antidiurétique. Elle influe sur la régulation aussi bien des fonctions urinaires que de la pression sanguine.

Hormone N°5 – Le cortisol

Le cortisol est une hormone du stress qui mérite une attention particulière. Cette hormone joue plusieurs rôles dans la réaction de l’organisme face à des situations anxiogènes.

Après la sécrétion de l’adrénaline où l’organisme est porté à son maximum, le cortisol est sécrété pour transformer les réserves de graisse en sucre pour la production d’énergie.

Ensuite, le cortisol dirige cette énergie dans les muscles ou dans tout autre endroit adéquat en fonction du stimulus auquel vous êtes confronté(e).

En situations de fortes angoisses, la sécrétion de cortisol maintient un équilibre énergétique dans votre organisme.

Le problème est que, quand vous êtes trop souvent confronté(e) à des situations de stress, vous risquez un dérèglement dans la sécrétion du cortisol. Au lieu d’en sécréter uniquement dans les situations dangereuses, votre organisme le fait à la moindre situation embarrassante.

Il en est ainsi que vous soyez bloqué(e) dans les bouchons, que vous ayez peur d’un simple cafard, ou que vous ayez beaucoup de tâches à exécuter dans une journée.

Dès lors, votre organisme sécrète encore et toujours du cortisol et pas toujours de façon opportune. Cette sécrétion excessive est dangereuse pour votre santé et votre bien-être.

Sur le long terme, cet excès entraîne des maladies importantes : diabète de type 2, lié au surpoids, voire des cancers. Dans plusieurs cas. Il est également à la source d’une sensation de fatigue quotidienne accompagnée de maux de tête.

Si vous ne vous soignez pas rapidement, vous n’êtes plus efficace dans votre travail ou dans certaines tâches du quotidien. Vous êtes constamment épuisé(e) même après une bonne nuit de sommeil.

Comment gérer les hormones du stress ?

Si vous ressentez l’un des symptômes de stress évoqué ci-dessus, je vous invite à bénéficier d’un accompagnement thérapeutique pour traiter votre stress.

Vivre constamment angoissé(e) vous détruit à petit feu au-delà du fait que cela ruine votre bien-être. C’est un élément destructeur pour votre santé physique.

Pour éviter toutes les conséquences d’une absence de prise en charge adaptée, je vous invite à consulter un(e) spécialiste ou mieux, plus simple, et moins onéreux, d’utiliser un programme thérapeutique et comportemental en ligne.

Une telle méthode s’appuie sur l’approche systémique de Palo Alto. C’est l’une des thérapies stratégiques et brèves les plus en vogue actuellement et cela n’est pas anodin. C’est une approche thérapeutique réputée très efficace contre toutes les formes de troubles anxieux et dépressifs.

Apparue en France au XIXe siècle, l’approche comportementale est le fruit de trois vagues.

Chacune apporte son germe à cette thérapie révolutionnaire telle qu’elle se pratique actuellement. La toute première vague apparait dans les années 50, et repose sur une analyse des comportements et de leurs changements.

La seconde vague se concentre sur l’ensemble des cognitions. Elle intervient sur la modification des pensées automatiques afin d’éviter les douleurs tant psychiques que physiques.

La troisième et dernière vague se pratique aujourd’hui.

Elle débute dans les années 90 et donne une place importante aux émotions en plus d’établir un lien entre dimension cognitive et comportements.

Je vous rappelle que le comportement consiste en une réponse donnée à une sollicitation externe ou interne dans un contexte et un environnement spécifique.

L’approche systémique de Palo Alto consiste donc en un traitement, court et particulièrement efficace, qui se résume en 4 grandes étapes.

Étape N°1 – Recherche des causes des hormones du stress

C’est l’examen des causes du stress ressenti par le patient.

Cela en détermine les sources précises. A cette étape, le programme thérapeutique en ligne identifie ce qui pose problème. Il en est de même en ce qui concerne les réelles causes de vos troubles psychiques : c’est la phase de contextualisation.

Étape N°2 – Recherche théorique de solutions à propos des hormones du stress

A l’aide d’exercices spécifiques, rapidement, vous déconnectez, ou inhibez, votre relation au stress perçu.

Ainsi, de façon étonnante et particulièrement rapide, vous comprenez comment objectiver, et de quelle façon ne pas, ou plus, être impacté(e) par des situations sources d’angoisses.

Étape N°3 – Traitement des traumatismes et sécrétion d’hormones du stress

Votre stress n’est pas une réponse due au hasard.

Cette réponse est conditionnée par des éléments constitués les uns après les autres au gré de votre évolution sociale, familiale, professionnelle ou économique.

Les tentatives répétées qui sont les vôtres pour éviter le stress et partant, pour agir en fonction de la sécrétion des hormones du stress, sont souvent liées à des traumatismes constitués dans votre passé.

Si d’aucuns pensent que ces traumatismes ne sont rien en comparaison de la guerre en Syrie, il n’en demeure pas moins qu’ils constituent des freins à une évolution positive et constructive puisqu’ils vous empêchent d’agir et vous font réagir.

Dès lors, vous accédez à des moyens rapides pour mettre un terme définitif à ces traumatismes comme aux réactions que vous avez. Vous adoptez des comportements beaucoup plus objectifs, partant, beaucoup plus constructifs et vous renforcez estime de soi et confiance en soi.

Étape N°4 – Consolidation de la solution pour minimiser la sécrétion d’hormones du stress

Une fois satisfaites les étapes 1 à 3, puis la 4ème, et dernière étape, vous expérimentez un comportement adulte et responsable.

Ce type de pratique comportementale ne se réalise pas n’importe comment sachant qu’il ne s’agit, en aucun cas, d’exercices d’expositions. Dans le respect de vous même, vous exprimez vos limites et vous vous affirmez.

Un tel programme thérapeutique et comportemental en ligne se déroule sur un maximum de 8 semaines.

Dès la 3ème semaine, vous en ressentez les bénéfices. Cela signifie que vos hormones du stress retrouvent leur équilibre naturel. Ainsi, vous diminuez vos symptômes de stress d’au moins 50% en moins de 15 jours.

Progressivement, vous suivez simplement les consignes thérapeutiques qui vous sont données. A cette fin, vous vous appuyez sur chaque exercice comme sur chaque vidéo explicative. Les uns et les autres sont accessibles dans votre espace personnel sécurisé.

Mais avant que vous ne deveniez membre de ce programme, permettez moi de vous expliquer de façon sommaire le fonctionnement du cerveau en lien avec la sécrétion de cortisol, cette hormone du stress.

Relation entre le cerveau et les hormones du stress

Le cerveau est un truc génial, extraordinaire. C’est une sorte d’unité centrale, de poste de commandement dont les modalités de fonctionnement technologiques demeurent assez obscures.

La neurologie a fait bien des progrès mais il subsiste encore des zones d’ombres. A ce propos, je pense que fort peu d’entre elles seront mises en lumière dans les décennies à venir.

Du coup :

  • Que sait-on vraiment de cet organe exceptionnel et nébuleux qu’est le cerveau ?
  • En quoi les informations qu’il détient conditionnent la plupart de nos réactions ?
  • Dans quelles mesures la plupart des domaines de votre vie sont-ils conditionnés par le cerveau, cet extraordinaire calculateur logique ?

Un mode de fonctionnement binaire

Du jour de votre conception à celui où vous lisez le présent article, votre cerveau n’a eu de cesse d’accumuler des informations liées à toutes vos expériences de vie, qu’elles soient désagréables ou agréables.

Ces expériences génèrent 2 comportements :

  • La fuite
  • Le combat

Pour faire simple, la fuite correspond à un comportement d’évitement par rapport ce qui est ressenti comme un mal, une douleur, comme un problème, et dont vous devez vous protéger.

Le combat a pour vocation de vous amener au plaisir, au bien-être. Vous vous battez « pour ».

Chaque chose que vous faites ou vivez depuis que vous êtes né(e) est intégrée dans la zone « douleur » ou « plaisir ». En fonction de ces 2 éléments, le cerveau vous fait réagir d’une façon ou d’une autre : fuir pour vous protéger, ou combattre pour éprouver du bien-être.

Ce sont ces comportements qui conditionnent les modalités de fonctionnement de ce qu’il est convenu d’appeler : le cerveau reptilien.

Le cerveau et la personnalité

Comme vous le savez sans doute, un animal ne fait pas dans le social ou le politiquement correct.

L’animal, nonobstant la satisfaction de ses besoins primaires (manger, se reproduire, etc.), cherche toujours à survivre, à se protéger.

C’est ainsi qu’est structurée son mode de fonctionnement, ce que j’appelle « sa personnalité fonctionnelle » (dussè-je faire hurler les puristes).

En ce qui vous concerne, au fur et à mesure de votre vie, vous « complétez » des cases qui font votre personnalité fonctionnelle et affective (au sens de l’émotion).

Celle-ci est constituée des éléments ci-dessous :

  • Culture,
  • Expériences de vie,
  • Environnement (social, géographique, économique, affectif, etc),
  • Religion,
  • Éducation,
  • Mode de vie,
  • Image de soi,
  • Image des autres,
  • Peur du jugement.

Chacune de ces cases complétée vous fait réagir d’une façon ou d’une autre. Si vous recevez une éducation au cours de laquelle les émotions sont quelque peu mises de côté, il y a des chances pour que vous ayez de la misère (bonjour Québec!) avec ce que vous ressentez.

Dès lors, vous réagissez en essayant de contrôler vos émotions. Pourquoi ? Tout simplement pour des questions qui relèvent de l’image que vous avez de vous comme de celle que vous renvoyez aux autres (cf. la peur du jugement).

Réalité et imaginaire

Ce type de réaction émotionnelle pose donc la question de la reconnaissance.

Par peur de perdre l’approbation, vous craignez que l’on voit que vous êtes angoissé(e) ou anxieux(se), et que vous soyez jugé(e) pour cela.

Vous allez donc vous employez à contrôler ce que vous ressentez pour que cela ne soit pas visible des autres, pour faire bonne figure en somme, pour ne pas vous donner en spectacle.

Au début, çà marche.

Ça fonctionne parce-que le cerveau n’y voit que fort peu de désordre par rapport aux informations qu’il possède à votre sujet. Rappelez vous les notions de fuite ou de combat, les notions de bien ou de mal.

Au début, le cerveau ne « dit rien » parce-que ce type de dysfonctionnement est intégré au système.

C’est ce que l’on appelle l’homéostasie d’un système.

L’homéostasie est à considérer comme une sorte de variable d’ajustement. Cela signifie que n’importe quel système, le cerveau y compris, accepte qu’il y ait des petites entorses à la règle et n’en fait pas un problème.

Une Ferrari qui roule comme une 2 CV

Le problème c’est quand votre système est mis à mal par des tentatives répétées de contrôle.

Ces tentatives de solutions mettent le cerveau en difficulté. Cela perturbe le bon équilibre fonctionnel de votre système nerveux central lequel ne manque pas d’exiger de vous un comportement adapté pour retrouver ses modalités fonctionnelles habituelles, son équilibre interne.

Ainsi, face à une angoisse ou à de l’anxiété, la plupart des gens réagissent en essayant d’augmenter le contrôle des informations reçues de sorte à ne plus en souffrir.

Plus vous faites çà, plus vous réagissez, plus le cerveau comprend que vous ne comprenez pas, et le cerveau déteste çà.

Confronté à ce type de situation, votre système nerveux central augmente l’intensité de la douleur psychique ou physique que vous ressentez. Il exige de vous un comportement adapté à son besoin : l’équilibre.

Mais il y a un problème.

Vous ne savez pas vraiment ce que le cerveau souhaite, ni l’intensité réelle du problème perçu par lui, et vous vous faites berner. Vous pensez bien faire en réagissant, et vous tombez dans ce que vous cherchez précisément à éviter.

Le cerveau exige de vous un comportement approprié pour qu’il conserve ses modalités de fonctionnement originelles.

Si vous ne faites pas comme le cerveau l’exige de vous, c’est la catastrophe. Le SNC (système nerveux central) augmente l’intensité du problème et vous, vous perdez le contrôle du contrôle.

Reprogrammer les connexions émotionnelles

Tranquillisez vous, il existe des moyens simples pour traiter ce type de problème et retrouver ce que j’aime à nommer « la paix de l’esprit ».

Ce que j’essaie de vous expliquer aujourd’hui, c’est que votre cerveau fonctionne comme un ordinateur. Un cerveau, c’est binaire. S’il y a de mauvaises connexions internes ou externes, l’ordinateur se plante, comme un cheval devant un obstacle.

Mal drivé, un cheval vous mène à la faute. Mais le cheval n’est pas responsable de ce dysfonctionnement. C’est votre façon d’être et de faire qui contrevient au bon fonctionnement du cheval. A titre d’exemple, je pense au refus de saut pendant une course d’obstacle.

Ce n’est pas le cheval qui est en cause quand il refuse de sauter un obstacle. C’est la cavalière ou le cavalier qui a donné des ordres inappropriés – contradictoires – qui font que le cheval stoppe ses fonctions car cela ne correspond pas à ses modalités de fonction. Cela crée du désordre dans son cerveau, donc, il s’arrête net.

En ce qui vous concerne, vous n’êtes pas responsable de vos dysfonctionnements émotionnels ni de leurs conséquences. En effet, comment voulez-vous savoir faire quelque chose qu’on ne vous a pas appris ?

L’histoire de la dystonie de fonction ou comment débloquer un cerveau

Je me rappelle d’un musicien qui souffrait de ce que l’on appelle : une dystonie de fonction. C’est un mécanisme corporel qui ne fonctionne plus – ne répond plus aux ordres du cerveau – alors que l’organe lui-même n’est nullement altéré.

Ce musicien n’arrivait plus à jouer de son instrument. Les membres dont il avait besoin pour jouer de la musique refusaient de fonctionner au contact de l’instrument, alors que, sans l’instrument, ces membres fonctionnaient tout à fait normalement.

Que se passait-t’il ? Tout simplement, le cerveau buguait face à des informations contradictoires qui rajoutaient au problème de ce patient.

Ce monsieur avait vécu une situation traumatique dans le cadre de ses activités musicales.

Depuis lors, il s’évertuait à ignorer cette situation, à faire comme si de rien n’était. Du coup, pour exprimer le dysfonctionnement, et exiger une sorte de ré équilibrage, le cerveau empêchait cette personne de jouer de son instrument.

Très rapidement, nous comprenons le mécanisme du problème (je fais allusion à la contextualisation dont je vous parle souvent).

Tout aussi rapidement, nous trouvons une solution à ce problème grâce à l’approche comportementale. Progressivement, et naturellement, nous « débloquons » le cerveau de ce monsieur, lequel, depuis lors, a repris ses concerts.

Soit écrit en passant, vous pouvez faire la même chose et obtenir tous les bénéfices souhaités dans tous les domaines de votre vie.

A cette fin, n’hésitez pas à cliquer sur le lien suivant pour traiter un problème d’hormones du stress et ainsi les remplacer en suffisance par les hormones du bonheur :


La + efficace des solutions commence ici.


Pour toutes questions, commentaires ou partage d’expérience, vous connaissez la « procédure »: utilisez le formulaire en dessous de cet article.

Merci de votre confiance. Prenez bien soin vous.


Article mis à jour le 15 novembre 2023 par Frédéric Arminot.

    2 replies to "Hormones du stress : en quoi l’excès de cortisol est un problème ?"

    • Frédéric Arminot

      Bonjour Noé,

      Je sus ravi que cet article vous ait intéressé.

      Si vous avez des questions, n’hésitez pas à me solliciter à l’aide de la page contact.

    • Noé

      Enfin un article généraliste qui me parle

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